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2008-09-18 18:53:19 UTC
Pas le paquet de mensonge de Normand Lester.
Source: Serviam janvier 1966 p.11, octobre/novembre 1966 p.9
Né le 3 octobre 1899, de Narcisse Arcand de Deschambault, charpentier,
plus tard organisateur syndicaliste, et de Marie-Anne Mathieu, de Ste-
Marie de Beauce, directrice d'école, organiste et maîtresse de
chapelle. Quatrième d'une famille de douze enfants. Etudes primaires
et primaires supérieures à St-Stanislas de Montréal. Etudes
secondaires au Collège de St-Jean et au Collège de Montréal (conventum
1919). Commença sa philosophie au Collège Ste-Marie, en même temps que
le soir, il étudiait pour devenir ingénieur chimiste sous l'ingénieur
Paul DeGuise au Laboratoire des Produits Forestiers (attaché à
l'Université McGill). Frappé par la grippe espagnole, il demeura alité
pendant neuf mois. Après sa convalescence ayant à gagner sa vie, il
devint journaliste ("La Patrie", "Montreal Star", "La Presse").
Parfait bilingue, il écrivit pour des publications anglaises,
américaines, françaises, belges etc. En 1929, il fut membre fondateur
du Syndicat des Journalistes de Montréal, dont il fut élu président.
Il fut expulsé, à cause de cela, par le journal où il travaillait, car
les patrons s'opposaient à tout syndicalisme des journalistes. Il
fonda alors le journal humoristique "Le Goglu", qui atteignit, dès
1930, un tirage de 85,000 copies vendues, ce qui était énorme pour
l'époque, et "Le Miroir"; ces deux journaux eurent une influence
considérable sur la politique du temps. M. Arcand refusa, en 1932, une
offre de l'hon. L.A Taschereau, de devenir député libéral provincial,
avec promesse de recevoir peu après le portefeuille de Secrétaire
provincial; il refusa, en 1935, l'offre du Tr. Hon. R.B. Bennett
d'être ministre du Travail fédéral. À tous deux, M. Arcand répondit:
"Le bleu et le rouge sont appelés à disparaître, le problème de ma
génération sera celui de communiste ou anticommuniste, problème
inéluctable, car il n'y aura pas d'autre choix offert a l'humanité".
M. Arcand, doué d'une mémoire surprenante, n'a jamais cessé d'étudier
les langues 'étrangères, la philosophie, la théologie, la sociologie,
le droit, l'économie et surtout la politique dans tous ,les manuels
universitaires et extra-universitaires. Il ne cesse de répéter à ses
intimes: "Puisque l'homme est un être composé d'un corps périssable et
d'une âme vouée à une vie éternelle, la théologie est assurément la
science la plus importante pour un chrétien; il n'y a de vrai chrétien
que celui qui apprend à connaître, dans les textes araméens, grecs et
latins, s'il en a le don ou le talent,les racines mêmes du
christianisme; et son devoir est de les communiquer à qui a l'humilité
d'écouter".
M. Arcand fut membre-fondateur de la section Côme-Cherrier de la
Société St-Jean-Baptiste, membre-fondateur et vice-président de la
Société des Auteurs Canadiens, membre perpétuel de la Société
Astronomique de France, membre-fondateur et Chef du Parti National
Social Chrétien (1934), membre-fondateur et Chef du Parti de l'Unité
Nationale du Canada (1938).
Le 1er juillet 1938, fut aussi une date mémorable. Déjà à cette
époque, des Canadiens véritables, avaient décelé le travail pernicieux
de dislocation de l'unité canadienne, qui jusqu'alors s'était tramé
dans l'ombre des loges judéo-communistes. Ils se sont levés et venant
de toutes les provinces canadiennes, ils ont affirmé à la face du pays
tout entier qu'il fallait s'unir et lutter pour réaliser l'unité
nationale si gravement menacée. Au cours d'une Convention nationale
tenue à Kingston en l'anniversaire de la Confédération, heureuse
coïncidence, qui réunissait tous les chefs nationalistes du pays, ils
fondèrent le PARTI DE L'UNITÉ NATIONALE DU CANADA, THE NATIONAL UNITY
PARTY OF CANADA.
Ce fut une journée historique, où sur le site même de combats livrés
jadis entre canadiens-français et canadiens-anglais, ces héros de
notre histoire, les descendants de ceux-ci se rencontraient de nouveau
cette fois-ci pour s'unir et jeter les bases d'une fraternité nouvelle
pour combattre l'ennemi commun de l'unité nationale canadienne, la
judéomaçonnerie. Adrien Arcand, qui depuis 1934 dirigeait le Parti
N.S.C. dans le Québec, reconnu mondialement par son courage, son
expérience, sa sagesse, son érudition. et ses hautes connaissances de
la politique canadienne et mondiale, fut, à l'unanimité choisi CHEF
NATIONAL de ce nouveau parti. Nous célébrons donc cette année le
29iéme anniversaire de la fondation du PARTI DE L'IMITE NATIONALE DU
CANADA, THE NATIONAL UNITY PARTY OF CANADA.
On ne peut certes pas passer sous silence les succès fantastiques que
notre PARTI remporta durant ses cinq années d'activités intenses entre
les années 1934-39. Ce fut par milliers que des Canadiens joignirent
ses rangs à travers tout le pays. Le Chef national, Adrien Arcand,
connut une immense popularité qui fit de lui l'autorité incontestée
des questions nationalistes et internationalistes de tout le continent
nord-américain. Que dire des assemblée immenses tenues au Masseyhall
de Toronto, aux marchés St-Jacques et Maisonneuve et dans la Vieille
Capitale. Les Juifs et les communistes regardaient avec terreur,
montée comme une marée irrésistible qui devait tous les emporter,
cette ARMÉE DE CHEMISES BLEUES COMPOSÉE DE LA PLUS BELLE JEUNESSE
NATIONALISTE DU PAYS.- Puis vint la guerre 1939-45, deuxième phase de
la Révolution mondiale, qui devait donner aux judéo-communistes plus
de la moitié de notre planète.
Le lendemain du premier ultimatum du l'Angleterre à l'Allemagne, 2
septembre 1939, M. Adrien Arcand, qui était officier de réserve dans
l'armée du Canada, afin de ne pas ennuyer les autorités de son pays,
ordonna la cessation de toutes les activités et publications du Parti
de l'Unité-Nationale du Canada; il fit offrir au gouvernement
canadien
par le procureur légal du Parti, Me Lavery, C. R., une brigade entière
(6,000 hommes) pour la défense locale du pays, ce dont il fut remercié
chaleureusement per le Ministre de la Défense du Canada; il incite de
nombreux membres du Parti à s'enrôler, plusieurs de ces membres
mourant glorieusement ou étant blessée sur les champs de bataille.
Durant la dernière Guerre Mondiale, M. Arcand fut interné dans des
camps de concentration canadiens pendant 5 ans et 5 semaines, avec ses
lieutenants du P.U.N., à la demande des juiveries américaine et
anglaise, sans accusation, sans procès, sans verdict, sans sentence.
Ce fut, par "raison d'État", la pire lettre de cachet, le pire acte de
tyrannie et de despotisme jamais connus dans toute notre histoire
politique canadienne, et cela pour plaire aux Juifs qui contrôlaient
alors la propagande et la finance dont les autorités du jour avaient
besoin.
Nous ne pouvons pas dans cet article raconter tous les sévices dont le
Parti et ses chefs furent victimes. Mais nombreux encore sont ceux qui
en furent témoins. Attentats contre là vie du Chef, prison,
persécutions, boycott, confiscations. de commerces florissants, pertes
d'emplois, refus de secours, considérés comme traîtres à la nation
canadienne, internés et emprisonnés sans aucune accusation, refus de
procès, persécution contre les familles des internés, isolement dans
des camps de concentration avec criminels de droit commun, aucun
contact possible avec l'extérieur, créant angoisse et panique dans les
familles affectées, emprisonnés dans des conditions les plus sordides,
les plus infectes, entassés comme des animaux dans des baraques,
forcés d'exécuter des travaux de bûcherons dans les forêts de Petawawa
et de Fredericton, par des froids de 40, sous zéro, vêtus simplement
de vêtements d'été. Ce qui explique peut-être certaine mortalité. Un
"petit Nuremberg" chez nous aurait peut-être apporté certains
éclaircissements sur les camps de concentrations canadiens. Peut-être
que l'ex-commandant Harvison qui s'est personnellement constitué en
héros de guerre, se serait vite dégonflé?
Tout ceci se passait avant et durant la guerre de 1939-45. Que dire
maintenant de toutes les difficultés auxquelles notre PARTI fût soumis
depuis.
La guerre finie, on libéra les chefs du PARTI injustement internés
pendant plus de cinq années. On ne leur offrit aucune excuse ou
dédommagement même s'il fut reconnu que leur incarcération fut
injustifiée.
M. Adrien Arcand nous a appris à répudier toute anglophobie et toute
autre phobie, nous enseignant qu'il n'y a qu'une seule Culture et une
seule Civilisation pour tous les peuples d'Europe et d'Amérique: la
Haute Culture-Civilisation occidentale dont tous les Blancs partagent
à divers titres.
M Arcand a toujours été un fervent des beaux-arts, pratiquant la
musique et la peinture pendant plusieurs années. Son seul "hobby"
présent est la promenade solitaire dans les bois de sa région où, en
mycologue très érudit, il ramasse les champignons sauvages qui font
les délices de ses amis. Hautement considéré par les chefs
nationalistes du monde entier, M. Arcand est régulièrement consulté
pour des avis et des mémoires sur la situation mondiale. En 1925, M.
Arcand épousa Yvonne Giguère, de Québec, dont il eut trois fils, le
deuxième Jean-Louis, étant mort tout récemment à l'âge de 38 ans après
une courte maladie. Il a trois petits-fils et une petite-fille qui
font sa joie constante. Bien que chef incontesté de notre Parti, M.
Arcand ne s'en dit que le plus humble serviteur, nous enseignant que
LA CAUSE, la Grande Idée est le vrai chef que nous devons tous en être
des servants; que cette Cause et cette Grande Idée est tout simplement
la survie et la remontée de la Haute Culture-Civilisation chrétienne
et occidentale.
Source: Serviam janvier 1966 p.11, octobre/novembre 1966 p.9
Né le 3 octobre 1899, de Narcisse Arcand de Deschambault, charpentier,
plus tard organisateur syndicaliste, et de Marie-Anne Mathieu, de Ste-
Marie de Beauce, directrice d'école, organiste et maîtresse de
chapelle. Quatrième d'une famille de douze enfants. Etudes primaires
et primaires supérieures à St-Stanislas de Montréal. Etudes
secondaires au Collège de St-Jean et au Collège de Montréal (conventum
1919). Commença sa philosophie au Collège Ste-Marie, en même temps que
le soir, il étudiait pour devenir ingénieur chimiste sous l'ingénieur
Paul DeGuise au Laboratoire des Produits Forestiers (attaché à
l'Université McGill). Frappé par la grippe espagnole, il demeura alité
pendant neuf mois. Après sa convalescence ayant à gagner sa vie, il
devint journaliste ("La Patrie", "Montreal Star", "La Presse").
Parfait bilingue, il écrivit pour des publications anglaises,
américaines, françaises, belges etc. En 1929, il fut membre fondateur
du Syndicat des Journalistes de Montréal, dont il fut élu président.
Il fut expulsé, à cause de cela, par le journal où il travaillait, car
les patrons s'opposaient à tout syndicalisme des journalistes. Il
fonda alors le journal humoristique "Le Goglu", qui atteignit, dès
1930, un tirage de 85,000 copies vendues, ce qui était énorme pour
l'époque, et "Le Miroir"; ces deux journaux eurent une influence
considérable sur la politique du temps. M. Arcand refusa, en 1932, une
offre de l'hon. L.A Taschereau, de devenir député libéral provincial,
avec promesse de recevoir peu après le portefeuille de Secrétaire
provincial; il refusa, en 1935, l'offre du Tr. Hon. R.B. Bennett
d'être ministre du Travail fédéral. À tous deux, M. Arcand répondit:
"Le bleu et le rouge sont appelés à disparaître, le problème de ma
génération sera celui de communiste ou anticommuniste, problème
inéluctable, car il n'y aura pas d'autre choix offert a l'humanité".
M. Arcand, doué d'une mémoire surprenante, n'a jamais cessé d'étudier
les langues 'étrangères, la philosophie, la théologie, la sociologie,
le droit, l'économie et surtout la politique dans tous ,les manuels
universitaires et extra-universitaires. Il ne cesse de répéter à ses
intimes: "Puisque l'homme est un être composé d'un corps périssable et
d'une âme vouée à une vie éternelle, la théologie est assurément la
science la plus importante pour un chrétien; il n'y a de vrai chrétien
que celui qui apprend à connaître, dans les textes araméens, grecs et
latins, s'il en a le don ou le talent,les racines mêmes du
christianisme; et son devoir est de les communiquer à qui a l'humilité
d'écouter".
M. Arcand fut membre-fondateur de la section Côme-Cherrier de la
Société St-Jean-Baptiste, membre-fondateur et vice-président de la
Société des Auteurs Canadiens, membre perpétuel de la Société
Astronomique de France, membre-fondateur et Chef du Parti National
Social Chrétien (1934), membre-fondateur et Chef du Parti de l'Unité
Nationale du Canada (1938).
Le 1er juillet 1938, fut aussi une date mémorable. Déjà à cette
époque, des Canadiens véritables, avaient décelé le travail pernicieux
de dislocation de l'unité canadienne, qui jusqu'alors s'était tramé
dans l'ombre des loges judéo-communistes. Ils se sont levés et venant
de toutes les provinces canadiennes, ils ont affirmé à la face du pays
tout entier qu'il fallait s'unir et lutter pour réaliser l'unité
nationale si gravement menacée. Au cours d'une Convention nationale
tenue à Kingston en l'anniversaire de la Confédération, heureuse
coïncidence, qui réunissait tous les chefs nationalistes du pays, ils
fondèrent le PARTI DE L'UNITÉ NATIONALE DU CANADA, THE NATIONAL UNITY
PARTY OF CANADA.
Ce fut une journée historique, où sur le site même de combats livrés
jadis entre canadiens-français et canadiens-anglais, ces héros de
notre histoire, les descendants de ceux-ci se rencontraient de nouveau
cette fois-ci pour s'unir et jeter les bases d'une fraternité nouvelle
pour combattre l'ennemi commun de l'unité nationale canadienne, la
judéomaçonnerie. Adrien Arcand, qui depuis 1934 dirigeait le Parti
N.S.C. dans le Québec, reconnu mondialement par son courage, son
expérience, sa sagesse, son érudition. et ses hautes connaissances de
la politique canadienne et mondiale, fut, à l'unanimité choisi CHEF
NATIONAL de ce nouveau parti. Nous célébrons donc cette année le
29iéme anniversaire de la fondation du PARTI DE L'IMITE NATIONALE DU
CANADA, THE NATIONAL UNITY PARTY OF CANADA.
On ne peut certes pas passer sous silence les succès fantastiques que
notre PARTI remporta durant ses cinq années d'activités intenses entre
les années 1934-39. Ce fut par milliers que des Canadiens joignirent
ses rangs à travers tout le pays. Le Chef national, Adrien Arcand,
connut une immense popularité qui fit de lui l'autorité incontestée
des questions nationalistes et internationalistes de tout le continent
nord-américain. Que dire des assemblée immenses tenues au Masseyhall
de Toronto, aux marchés St-Jacques et Maisonneuve et dans la Vieille
Capitale. Les Juifs et les communistes regardaient avec terreur,
montée comme une marée irrésistible qui devait tous les emporter,
cette ARMÉE DE CHEMISES BLEUES COMPOSÉE DE LA PLUS BELLE JEUNESSE
NATIONALISTE DU PAYS.- Puis vint la guerre 1939-45, deuxième phase de
la Révolution mondiale, qui devait donner aux judéo-communistes plus
de la moitié de notre planète.
Le lendemain du premier ultimatum du l'Angleterre à l'Allemagne, 2
septembre 1939, M. Adrien Arcand, qui était officier de réserve dans
l'armée du Canada, afin de ne pas ennuyer les autorités de son pays,
ordonna la cessation de toutes les activités et publications du Parti
de l'Unité-Nationale du Canada; il fit offrir au gouvernement
canadien
par le procureur légal du Parti, Me Lavery, C. R., une brigade entière
(6,000 hommes) pour la défense locale du pays, ce dont il fut remercié
chaleureusement per le Ministre de la Défense du Canada; il incite de
nombreux membres du Parti à s'enrôler, plusieurs de ces membres
mourant glorieusement ou étant blessée sur les champs de bataille.
Durant la dernière Guerre Mondiale, M. Arcand fut interné dans des
camps de concentration canadiens pendant 5 ans et 5 semaines, avec ses
lieutenants du P.U.N., à la demande des juiveries américaine et
anglaise, sans accusation, sans procès, sans verdict, sans sentence.
Ce fut, par "raison d'État", la pire lettre de cachet, le pire acte de
tyrannie et de despotisme jamais connus dans toute notre histoire
politique canadienne, et cela pour plaire aux Juifs qui contrôlaient
alors la propagande et la finance dont les autorités du jour avaient
besoin.
Nous ne pouvons pas dans cet article raconter tous les sévices dont le
Parti et ses chefs furent victimes. Mais nombreux encore sont ceux qui
en furent témoins. Attentats contre là vie du Chef, prison,
persécutions, boycott, confiscations. de commerces florissants, pertes
d'emplois, refus de secours, considérés comme traîtres à la nation
canadienne, internés et emprisonnés sans aucune accusation, refus de
procès, persécution contre les familles des internés, isolement dans
des camps de concentration avec criminels de droit commun, aucun
contact possible avec l'extérieur, créant angoisse et panique dans les
familles affectées, emprisonnés dans des conditions les plus sordides,
les plus infectes, entassés comme des animaux dans des baraques,
forcés d'exécuter des travaux de bûcherons dans les forêts de Petawawa
et de Fredericton, par des froids de 40, sous zéro, vêtus simplement
de vêtements d'été. Ce qui explique peut-être certaine mortalité. Un
"petit Nuremberg" chez nous aurait peut-être apporté certains
éclaircissements sur les camps de concentrations canadiens. Peut-être
que l'ex-commandant Harvison qui s'est personnellement constitué en
héros de guerre, se serait vite dégonflé?
Tout ceci se passait avant et durant la guerre de 1939-45. Que dire
maintenant de toutes les difficultés auxquelles notre PARTI fût soumis
depuis.
La guerre finie, on libéra les chefs du PARTI injustement internés
pendant plus de cinq années. On ne leur offrit aucune excuse ou
dédommagement même s'il fut reconnu que leur incarcération fut
injustifiée.
M. Adrien Arcand nous a appris à répudier toute anglophobie et toute
autre phobie, nous enseignant qu'il n'y a qu'une seule Culture et une
seule Civilisation pour tous les peuples d'Europe et d'Amérique: la
Haute Culture-Civilisation occidentale dont tous les Blancs partagent
à divers titres.
M Arcand a toujours été un fervent des beaux-arts, pratiquant la
musique et la peinture pendant plusieurs années. Son seul "hobby"
présent est la promenade solitaire dans les bois de sa région où, en
mycologue très érudit, il ramasse les champignons sauvages qui font
les délices de ses amis. Hautement considéré par les chefs
nationalistes du monde entier, M. Arcand est régulièrement consulté
pour des avis et des mémoires sur la situation mondiale. En 1925, M.
Arcand épousa Yvonne Giguère, de Québec, dont il eut trois fils, le
deuxième Jean-Louis, étant mort tout récemment à l'âge de 38 ans après
une courte maladie. Il a trois petits-fils et une petite-fille qui
font sa joie constante. Bien que chef incontesté de notre Parti, M.
Arcand ne s'en dit que le plus humble serviteur, nous enseignant que
LA CAUSE, la Grande Idée est le vrai chef que nous devons tous en être
des servants; que cette Cause et cette Grande Idée est tout simplement
la survie et la remontée de la Haute Culture-Civilisation chrétienne
et occidentale.